Collection Soumise. Il Est Difficile DÉchapper À Son Destin. Saison I (2/3)
Vous savez que jai contacté Chris pour lui expliquer ma vie, celle que je vous ai contée dans ce premier chapitre.
Vous savez donc pourquoi nous avons décidé de classer mon histoire dans la « collection soumise. »
Essayant de compter les amants de ma vie, jai pris peur.
Je prends une grande bouffée dair et je prends la résolution de ma vie.
À 25 ans, je vais me ranger, je vais carrément arrêter le sexe et fonder une famille.
Fini la soumission à ce dernier, à partir de maintenant, cest moi qui dirigerai ma vie et non ce trou sans fond que jessaye de remplir par des langues des bites et du sperme.
Je vais me ranger et fonder une famille, la seule verge qui devra me satisfaire, ce sera celle de mon mari.
Dans le plan que jélabore, je vais garder mon gode au fond de notre armoire pour me satisfaire les moments où mon sexe voudra de nouveau me soumettre à ses turpitudes.
Fini Pierre, Paul, Jacques, Aglaé et autres chattes poilues ou non poilues.
Seule celle de lhomme que jaurai choisi aura ma préférence, les autres je vais les ignorer.
Quelques jours plus tard après une dernière nuit à me soumettre à ma chatte, je prends les choses en main.
Je mets mes affaires dans ma voiture, jembrasse mes parents et je prends la route du logement que jai loué à des kilomètres de mes lieux de débauche.
Jy ai trouvé un travail de secrétaire dans le cabinet dun notaire, ce qui va me permettre de massumer.
Toute la semaine, je travaille, jai changé mon look, mode pute pour un look bourgeoise bcbg.
Je travaille, sans regarder Maître Benoit mon patron genre de mec sur qui jaurais sauté il y a encore quelques jours.
Le samedi je me mets en chasse de lhomme de ma vie.
Jai faim, mais je me résigne à ma condition de jeune femme bien mise, mais réservée sur une grande partie des choses de la vie.
De la boîte à la musique hurlante, jentre dans une discothèque tango, valse avec piano à bretelles.
Je me fais rapidement chier, mais si je dois trouver le type dhomme que je cherche, cest ici que je vais le trouver.
Je danse avec divers partenaires, aucun, même si certains ont des atouts, arrivent à la hauteur de ce que je cherche.
Je veux rapidement des s et je les veux beaux, même très beaux, des merveilles de la nature.
Tous ceux que je teste dans leurs bras, refusant que mon sexe prenne le pas sur ma quête de lhomme parfait, ont un point de détail qui les écarte.
Cest trois soirées plus tard que je le vois, beau comme il me le faut, mais timide.
Assez pour éviter dêtre rapidement cocu avec des femmes à la cuisse légère comme je lai été pendant des années.
Là se pose un problème, sa timidité est telle que je suis dans lignorance de comment je peux danser avec lui.
Il est avec un couple damis.
Je le regarde, il me regarde et cest tout, la soirée se termine sans que jai dansé avec lui.
Je le vois partir avec ses amis me laissant la chatte humide, tout à lheure en rentrant ce sera mon gode pour effacer lenvie de sauter sur tout ce qui bouge.
Je suis très destins, jusquà ce jour, lorsque je me soumettais à mon sexe, cétait souvent le destin qui mettait sur ma route des bites hors du commun sachant satisfaire mon envie de partie de trou du cul intense.
La semaine est éprouvante, mais je résiste, Maître Benoit me regarde de plus en plus avec des yeux montrant son envie de me clouer sur la porte de son bureau.
De plus, Adrien un jeune clerc de notaire pensant certainement que je suis pucelle vient régulièrement me faire du gringue.
Il pourrait être lélue, il est promis à un bel avenir dans le monde notarial, mais il a un strabisme prononcé.
En un mot, il a un il qui dit merde à lautre.
Le samedi lorsque je rentre dans la discothèque, je repère rapidement quil est là.
Seul cette fois.
Par chance une place est libre devant un petit guéridon où la serveuse nous pose nos verres.
Je dois être chanceuse, un groupe de six personnes arrive.
Mademoiselle, pouvez-vous vous décaler sur le siège voisin si monsieur le permet bien sûr !
Je permets, je permets.
Je suis aux anges, je me lève, mapprochant de ma proie, car proie il y a.
La serveuse déplace mon verre et je massieds attendant la suite.
Je vous ai vu la semaine dernière, jétais avec des amis.
Je mourrais denvie de vous inviter à danser, mais vous savez...
Je sais, ça se voit sur ta figure, malgré les lumières tamisées, tu dois rougir.
Moi aussi, je vous ai vu et jai attendu vainement que vous minvitiez à danser.
Cest en espérant vous revoir que je suis venue ce soir, pourtant cest loin de mes habitudes de courir après un homme.
Vous avez bien fait de courir surtout après-moi, je crois que toute ma vie, jaurais eu vos yeux dans la tête.
Voulez-vous danser ?
Voilà, cest ce soir-là que je lai mis dans ma poche.
Ma poche, pas mon lit pour autant, je suis une honorable femme qui fera lamour le jour où il me demandera en mariage et quil me mettra la bague au doigt.
Je dois tavouer quelque chose Loïc !
Je suis prêt à tout entendre France, je taime comme un fou.
Cest au restaurant le samedi suivant où il ma invité, que je me jette à leau.
Je sens la bague proche dêtre à moi, mais ma virginité disparue risque de me poser problème.
Jai déjà eu un garçon dans ma vie.
Cest tout, que tu aies eu une liaison à 25 ans qui y a-t-il de plus normal même si moi je suis encore puceau.
Tu te méprends Loïc, jai eu un garçon avec qui jai couché, une seule fois un mercredi.
Nous étions adolescents avec Christian et jignore comment je me suis retrouvée avec sa verge dans mon vagin.
Ça sest passé une seule fois, je te le répète, après il est parti pour Barcelone afin de devenir footballeur.
Ça sert les vieilles histoires, ça mévite de lui raconter toutes mes turpitudes et la liste de mes amants impossible à mettre à jour.
La franchise que tu as eue avec moi le soir de mon anniversaire ma conforté dans mon idée de toffrir ceci.
Tu es lélue.
Jai ma bague, jai ma bague, jai ma bague.
Comme le veut la tradition, il met un genou au sol et moffrir une bague qui a dû coûter un paquet de fric.
Jai oublié de vous signaler que Loïc dirige une société de métallurgie, plus précisément une chaudronnerie.
Parti dun CAP, il est arrivé à ouvrir cette boîte où à ce jour, il emploie 200 ouvriers.
Bref, je gagne le gros lot, un homme courtois, prévenant, propre sur lui et sentimental.
Oui, Loïc, je suis à toi jusquà ce que la mort nous sépare.
Maman est en larmes, elle sait ce que je leur ai fait voir.
Cest dur à vivre une fille soumise à son sexe et voir le mariage que je fais, tout est pour le mieux pour elle.
Papa impossible, de voir ses sentiments, toute sa vie, il les aura cachés même envers ma mère.
Enfin ma nuit de noce, très traditionnelle étant donné le contexte.
Je crains un peu, pas mon pseudo dépucelage, je suis déjà si défoncée quun autobus avec tous ses passagers pourrait me rentrer dedans.
Non, comment aborder le sexe avec un puceau.
Un baiseur, je sais ça sur le bout des doigts, plutôt de la langue lorsque je faisais de multiples fellations.
Ma chérie, que fais-tu, pourquoi te mets s-tu à genoux devant moi ?
Quand laprès-midi où Christian ma pris, pour la seule fois de ma vie.
Je dis cela très sérieusement avec mon copain, on la fait une seule fois du moins une seule journée.
Son frère un peu plus souvent et sa mère aussi.
Il ma fait sucer son sexe avant de le faire entrer en moi sans que je men rende compte.
Relève-toi, la future mère de mes s, je dois la respecter et déviter de faire ces choses hors de nature.
Jai envie de crier, mieux hurler que je veux sucer des bites, jadore ça.
Mais jai décidé déchapper à la soumission de mon sexe, alors je me relève, jembrasse le prenant simplement en main le masturbant légèrement.
Bien sûr, il va de soi, que jai droit à linévitable missionnaire et avant que jaie le temps de comprendre ce quil marrivait, Jules notre fils était attendu.
Oh ! mon mari mhonore souvent, mais plus en formule lapin bonjour madame, au revoir madame.
Merci mon amour davoir fait de moi un homme, jai senti que tu prenais du plaisir dès la première fois, certainement dû à ton aventure de jeunesse avec ce dénommé Christian.
Où a-t-il senti que je prenais du plaisir ?...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!